En France, patrie de Pasteur, certains médecins déçus par l’absence de vaccin national proposent à tous leurs confrères une voie originale franco-chinoise pour lutter contre toute pandémie.
De fait, quelques médecins, disciples d’un sinologue atypique Jacques André LAVIER, savent que les 360 points chinois classiques détiennent de par leur nom chinois un impact thérapeutique précis. Cette capacité étonnante a été confirmée par des milliards d’observations échelonnées sur des millénaires et confortée par les résultats positifs observés au XXIème siècle justifie leur démarche.
Confrontés à une pandémie génératrice de peur et de doute, ils ont sélectionné cinq points qui, stimulés par l’armoise, s’avèrent capables d’améliorer respectivement l’immunité (22VC), l’homéostasie (13F) et le terrain (10 et 13 GI et 36 E). Cette sélection est justifiée par le nom chinois de ces points retranscrits en écriture chinoise primitive contemporaine de leur identification.
TIAN TOU, nom chinois du 22 VC associe le ciel (TIAN), dépositaire de l’ordre du monde et un chien de garde (TOU) chargé de défendre son maître contre toute perturbation déclenchée par un visiteur agressif (virus ou autre).
ZHANG MEN alias 13F évoque une porte largement ouverte (MEN) et une pratique spécifique à la Chine de très haute époque. En l’occurrence, les diplomates chargés de maintenir la paix entre deux principautés rivales, étaient invités à exprimer les intentions respectives de chaque partie en récitant, chantant et dansant des fragments de poèmes connus de tous (ZHANG). En quelques traits tout est dit sur le rôle physiologique de l’homéostasie : maintenir l’harmonie de l’organisme confronté à des besoins multiples et contradictoires.
YU LI (13 GI) ZHOU SAN LI (10 GI) et ZU SAN LI (36 E) tirent de leur idéogramme commun (LI) le pouvoir de bonifier le terrain. De fait, LI comporte à sa base une ligne horizontale, image du sol nourricier. Celle-ci est surmontée par une croix, représentation du nombre 10 symbole classique de la totalité. La croix est elle-même surplombée par l’image d’un champ dont les diverses parcelles minutieusement cultivées sont délimitées par des traits transversaux figurant soit des canaux d’irrigation, soit des haies protectrices.
Transférée en physiologie, l’image est claire. Tout terrain (le sol) est capable d’offrir à son titulaire la récolte la plus abondante (10) à la condition que celui-ci l’abreuve (les canaux) le protège (les haies) tout en respectant les capacités spécifiques de chaque parcelle. Par ce biais, l’organisme protégé (TIAN TOU) équilibré (ZHANG MEN) et entretenu (LI) peut affronter les vicissitudes (pandémies et autres) d’une vie remarquablement programmée par le ciel (TIAN). Ce propos ambitieux, extirpé d’une expérience multi-millénaire, semble confirmé par la trop courte étude observationnelle rétrospective suivante :
*la population concernée regroupe 347 patients, informés et consentants, recrutés et non triés par des cabinets médicaux privés. A chacun d’entre eux, a été proposée une seule moxibustion indirecte des cinq points suscités ; opération très simple et brève.
De cette enquête il ressort que, sur les 347 personnes suivies pendant six mois au minimum :
- 97 % soit 336 n’ont présenté aucun symptôme de type Covid 19.
- 95% des sujets contactés six mois après l’unique intervention signalent une amélioration significative par rapport à leur état de santé antérieure. Certains évoquent le terme de bien être, d’autres, plus nombreux, signalent des modifications positives de constante biologique ou radiologique.
- Sur les 70 cas de sujets contacts répertoriés 7 seulement ont été affectés par une forme bénigne de Covid 19
- Aucun sujet « indemne» ne s’est fait tester. Le niveau de protection reste purement clinique. Aucune forme grave n’a été comptabilisée. La seule forme sévère de « Covid long » a frappé un patient traité dix jours après un épisode majeur de détresse respiratoire.
On retiendra de cette étude que les seuls cas confrontés à une contamination bénigne de l’ont tous été cinq mois après l’intervention sur les cinq points chinois, ce qui laisserait entendre que le traitement chez certains patients ne les protège que pendant les cinq premiers mois suivant le test thérapeutique.
Toutefois nous Invoquons, sans réticence, les imperfections d’une enquête limitée, échappant à toute analyse rigoureuse. In fine, intégrée à toutes les mesures prophylactiques préventives et curatives classiques, cette approche hétéro typique, sino occidentale, pourrait (conditionnel obligatoire) du fait de son impact général, dépasser le contexte clinique limité de la pandémie actuelle et des pandémies à venir, pour élargir ses perspectives au bien être de très nombreuses pathologies, notamment auto-immunes améliorées chez certains patients.
Perspectives à suivre…
